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lundi 3 avril 2023
La crise de l’énergie que nous traversons présentement, en conjonction avec les problèmes environnementaux causés par la pollution, fait en sorte qu’il est important de revoir la position de la voiture électrique dans le futur rapproché.
Voici un regard sur la situation et le développement probable de la filière.
Une croissance vertigineuse sur 10 ans
Pour bien comprendre la croissance exceptionnelle des ventes de voitures électriques, prenons l’exemple de la France. En 2011, 248 voitures électriques y étaient immatriculées. Dix ans plus tard, en 2021, leur nombre s’élevait à 15 592. Certains véhicules sont loin devant les autres.
C’est notamment le cas de la Tesla Model 3, pratiquement seule sur le trône. Loin derrière elle, sur les marches du podium, se trouvent la Renault Zoé, puis la Peugeot e-208. Avec l’avènement du leasing des voitures électriques, il est fortement probable que ce nombre croît encore plus.
Particulièrement, pour ceux qui apprécient les belles voitures de sport, alors qu’ils pourront se procurer la Tesla model X en lease.
Les caractéristiques de la voiture électrique qui affecteront son futur
Tout n’est pas rose dans le domaine de l’électrique. On entend beaucoup parler, ces temps-ci, des problèmes environnementaux potentiels, que causeront les batteries usagées des véhicules. Cependant, elles possèdent des avantages non négligeables, qui feront certainement en sorte de leur permettre de poursuivre une augmentation de leur présence, sur les routes à l’international. Voici les « plus » et les « moins » des voitures électriques.
Les « plus »
Leur valeur écologique réside dans le fait qu’elles n’émettent pas de CO2 ou de fumée d’hydrocarbures, contrairement aux voitures se nourrissant de carburant à base de pétrole. Comme elles représentent la source de pollution numéro un en ville, la voiture électrique viendra les remplacer de manière plus salutaire pour la planète, mais aussi pour les humains.
À une époque où l’inflation fait exploser les budgets des ménages, les voitures électriques peuvent faire partie de la solution, puisqu’elles coûtent beaucoup moins cher que les autres. En comparaison (en tenant compte des hausses de l’énergie), une voiture électrique coûtera 2 € pour 100 km, alors qu’une voiture au diesel se situera autour des 8 €.
voiture électrique
Le silence n’a pas de prix. Rouler dans une voiture électrique est une expérience unique, car elle ne fait aucun bruit, du fait qu’elle ne possède pas de moteur.
Cela permet de faire de longs trajets en toute tranquillité. Enfin, il faut noter que la voiture électrique coûte aussi beaucoup moins cher d’entretien.
Cela se justifie par le fait qu’il y a beaucoup moins de pièces et de liquides qui devront être changés ou remplacer, durant la longueur de vie de celle-ci, qu’à l’intérieur d’une voiture à moteur thermique.
Les « moins »
Il faudra dépenser plus, si l’on veut choisir une voiture électrique. En effet, les batteries qui sont à l’intérieur de celles-ci sont coûteuses, parce qu’elles sont fabriquées avec un métal rare. Le problème est que plus de voitures seront construites, plus la rareté augmentera. Ce qui n’est pas bon signe pour les prix de ces voitures, dans le futur. De plus, comme nous l’avons mentionné en introduction, ces batteries contiennent des matières premières lourdes et polluantes. Mais ce n’est pas tout ! Leur construction nécessite plus d’énergie, ce qui crée des émissions de CO2, deux fois plus importantes que lors de la fabrication des voitures à moteur thermique.
Il reste encore du travail à faire pour les constructeurs, afin d’améliorer l’autonomie de ces véhicules. Car bien que Tesla ait réussi à concevoir un modèle permettant de rouler 614 km, d’autres, telles que la Zoé de Renault, se limite encore à moins de 400 km. De plus, le temps de recharge est très variable d’un modèle à l’autre. On peut prévoir 15 minutes pour certains véhicules, alors que d’autres nécessiteront plusieurs heures. Enfin, le prix de revente des véhicules électriques est plus bas que pour ceux à moteur thermique.
Conclusion
La réalité est simple : compte tenu des problèmes environnementaux que nous connaissons aujourd’hui, qui créent d’énormes difficultés en ce qui a trait aux températures qui ne cessent de grimper (spécialement en Europe). En effet, il ne fait aucun doute que la voiture électrique est une solution à court terme que nous devrons adopter, pour améliorer ou tout au moins stopper, la hausse des degrés de chaleur.
Cependant, elles ne sont probablement pas la solution finale. Il faudra continuer à développer des technologies qui permettront de réduire tous les types de pollution. Comme les batteries des voitures électriques font partie des problèmes, on ne peut affirmer que celles-ci sont une opportunité tout à fait « verte ». Mais en comparaison aux moteurs thermiques, elles apparaissent comme telles. On peut donc dire que leur futur, à court terme, devrait être très positif. Et qui sait ? Peut-être que les chercheurs trouveront une batterie moins polluante rapidement, ce qui permettra aux véhicules électriques de devenir aussi la solution longue terme.
https://bit.ly/3U7DZzP
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